IAM Union – Union-Led Advisory Table paves the way for a fairer future for Canada’s workers

In a bid to address the challenges facing workers in an ever-evolving labour market, the Union-Led Advisory Table (ULAT) has brought together labour leaders from across Canada to advise the government on key labour and ministerial priorities. This unique initiative aims to ensure that the voices of workers are heard and that the needs of Canada’s workforce are addressed in policy decisions.

David Chartrand, General Vice-President of the IAM Union in Canada, was appointed in 2023 to the advisory table, where he works alongside 14 other dedicated members.

Together, they help guide the Canadian government in making informed decisions that benefit workers. The members are selected for their deep knowledge of the labour market, with a particular emphasis on equity, diversity, and inclusion. These leaders are recognized not only for their expertise in labour issues but also for their outstanding leadership within their communities and beyond.

The ULAT is a critical response to the changing nature of work, where technology, globalization, and shifting economic conditions are transforming industries at a rapid pace.

The advisory table’s mandate ended on October 31, 2024. Following this, the 2025 Unions Power Prosperity Report, which outlines key issues and recommendations, is now available. You can find it here.

IAM Le Syndicat Canada – L’IAM lance sa vidéo pour la Journée Internationale des Femmes

En cette Journée Internationale des Femmes (JIF), le 8 mars, nous célébrons fièrement les femmes incroyables du syndicat de l’IAM.

Nous honorons leur force, leur dévouement et leur leadership, en reconnaissant le travail acharné et la résilience qu’elles apportent à notre communauté.

Nous leur sommes reconnaissants pour tout ce qu’elles font, pas seulement aujourd’hui, mais chaque jour.

Merci de façonner l’avenir de notre syndicat et de nous inspirer tous par votre engagement.

AIM Canada – Les membres de la section locale 2413 d’AAS Canada remportent une victoire à la table des négociations

Les membres de la section locale 2413 travaillant chez AAS Canada à l’aéroport international Pearson de Toronto ont obtenu des victoires significatives à la table des négociations cette semaine, marquant une étape importante dans leur lutte pour de meilleurs salaires et avantages sociaux.

Ces travailleurs et travailleuses dévoués sont essentiels au bon fonctionnement quotidien de l’aéroport, et sont en charge de la circulation des chariots à bagages utilisés par les passagers à leur arrivée à Toronto Pearson. Leur travail est important pour garantir des opérations fluides à l’aéroport, et ce contrat représente une victoire bien méritée pour leurs efforts.

Le nouveau contrat a été accepté avec un immense soutien, 94 % des membres ayant voté en faveur.

Les principales dispositions de l’accord comprennent l’introduction d’une échelle salariale qui augmente immédiatement les salaires jusqu’à 13 % en fonction de l’ancienneté. L’accord offre également des semaines de congés supplémentaires pour les travailleurs et travailleuses ayant 15 et 20 ans de service, un avantage significatif pour les membres de longue date.

Le président général Dan Janssen a salué le travail acharné du comité de négociation : « Je tiens à rendre hommage au comité de négociation pour leur travail et leur dévouement tout au long de ce processus. Ils savaient ce que les membres voulaient et sont restés fermes pour obtenir ces gains.«

Le syndicat de l’IAM représente des milliers de travailleurs et travailleuses d’aéroport, y compris des centaines de membres répartis sur trois départements chez AAS Canada à Toronto Pearson. Cette victoire contractuelle rappelle la puissance de la solidarité et l’importance d’une forte représentation à la table des négociations.

AIM Canada – Une Journée dans la Vie d’une Femme Syndiquée

Levez-vous! Il est 6h30, le soleil se lève à peine, mais pas pour une femme syndiquée. Elle est déjà debout, prête à démarrer sa journée avec détermination, force et une tasse de café bien fort (parce que comment affronter le monde sans ça ?).

Elle a une journée bien remplie : que ce soit dans une maison de soins, à l’hôpital, sur un chantier de construction, à l’aéroport, à l’hôtel ou en gestion d’un bureau, une femme syndiquée connaît sa valeur et sait ce qu’il faut pour faire son travail comme il se doit.

Premier arrêt : la réunion matinale. Elle est là pour faire la différence. C’est elle qui se bat pour de meilleures conditions de travail, pour une rémunération équitable, pour les droits que chaque travailleur et travailleuses mérite.

Entre la défense des initiatives en santé mentale, l’application des protocoles de sécurité, et la lutte pour une représentation équitable à la table des négociations, elle travaille sans relâche pour bâtir un avenir plus inclusif pour tous — un contrat, un vote, une conversation à la fois.

Mais ce n’est pas seulement les grandes victoires qui comptent. Ce sont aussi les petites. La solidarité qu’elle partage avec ses collègues, la solidarité qu’elle crée avec d’autres femmes qui mènent les mêmes combats à travers le pays. Elle fait partie de quelque chose de plus grand, et c’est véritablement ce qui la pousse.

À midi, elle a déjà résolu quelques problèmes et fait de nouveaux alliés (parce que la solidarité n’est pas qu’un mot, c’est son second prénom). Elle est la première à prendre la parole lorsqu’elle voit une injustice, et la première à intervenir quand les travailleurs et travailleuses ont besoin de soutien. C’est elle qui lutte pour un environnement de travail plus sûr, de meilleurs avantages, et pour la place des femmes dans les postes de leadership.

À l’heure du dîner, elle fait des rencontres, s’inspire et réfléchit à des idées innovantes pour exiger le changement. Son énergie est contagieuse, et ses consœurs syndiquées sont toutes prêtes à la suivre.

De plus, que ce soit pour négocier des contrats ou revendiquer un traitement plus équitable des femmes dans les rôles de leadership, elle jongle constamment avec de multiples priorités. Mais c’est là la force d’une femme syndiquée : savoir relever les défis avec grâce et énergie, tout en inspirant les autres à se joindre à la cause.

À la fin de la journée, elle est toujours en forme. Que ce soit pour une séance de formation en négociation collective ou un petit entraînement à la salle de sport (parce qu’il faut bien avouer qu’une femme syndiquée sait comment gérer plusieurs tâches à la fois), elle maîtrise l’art de l’équilibre entre l’engagement et le soin de soi. Elle sait qu’elle ne construit pas seulement un avenir meilleur pour aujourd’hui, mais aussi pour chaque travailleur et travailleuses qui la suivra.

Et quand le jour touche à sa fin, elle prend un moment pour réfléchir à son parcours. Elle n’est pas seulement une femme syndiquée, elle est une force. Ses actions d’aujourd’hui façonnent demain, et son héritage inspirera les générations futures de femmes à continuer de briser les barrières.

Alors, un grand merci aux femmes syndiquées du Canada : les combattantes, les rêveuses, les guerrières. Vous changez l’histoire à chaque contrat que vous signez, chaque réunion à laquelle vous participez, chaque politique que vous défiez. Vous n’êtes pas juste membres d’un syndicat, vous êtes meneuses d’un mouvement.

Continuez de vous battre, continuez de briller et continuez d’inspirer !